Nous quittons San
Giovani Rotondo dans une matinée qui s'annonce chaude. Nina est
malade, grippe sans doute.
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Le fort de Bari |
La ville de Bari est la
vraie ville italienne : scooters dans tous les sens, nids de
poule permanents, parkings saturés. Finalement je trouve une place à
l'ombre à proximité d'un vaste jardin public où nous pouvons
promener Flocon et nous détendre dans une relative fraîcheur. Il
fait 27°.
Vers 17H nous décidons
qu'il est temps de faire mouvement. La voiture ne démarre pas,
batteries vides. La faute au frigo que j'ai oublié de débrancher…
J'appelle "Inter Mutuelles Assistance" et là s’enchaînent très
lentement toutes sortes de musiques pour me faire patienter. Quand
j'ai le correspondant MAIF en Italie il me dit que sans N° de
dossier il ne peut rien faire, il rappelle IMA .
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La cathédrale |
Bref la bureaucratie je-m’en-foutiste à l'état pur. Pendant que je m’énerve au téléphone, Nina marche jusqu'à une station service et se fait prêter des câbles de connexion. J'avise un monsieur sur le trottoir et lui explique que j'ai besoin qu'un automobiliste complaisant me laisse brancher les câbles sur la batterie de sa voiture. Il accepte et gare son Audi devant le Duster qui démarre in petto dès les câbles branchés. Par prudence je vais laisser tourner le moteur une bonne demi heure.
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embarquement |
IMA ne m'a jamais rappelé !!
Il reste à trouver le
port, car le temps commence à presser. Mais avant de rejoindre le
bateau il faut se faire « enregistrer » comme en aérien,
ce n'est pas à côté des quais d'embarquement. Nous slalomons dans
la zone portuaire jusqu'à notre ferry. Ouf ! C'est finalement
du pont du bateau que nous aurons les vues les plus intéressantes
sur la ville.
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coucher de soleil sur le port de Bari |
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